L’optimisme
Les avantages de l’optimisme
Résumé de l’article
Il souligne que notre cerveau, en anticipant le futur, impacte directement notre état émotionnel et notre comportement.Les personnes optimistes tendent à s’attendre à des événements positifs, ce qui a des répercussions bénéfiques sur leur santé mentale, leur performance et leur capacité à persévérer.
Cependant, l’optimisme doit être adapté à la situation et ne doit pas devenir naïveté. Pour être véritablement bénéfique, il doit être flexible, actif et basé sur l’expérience passée.
Par ailleurs, l’optimisme a des répercussions tangibles sur notre santé physique, notamment par le biais du système immunitaire.
Il est également un facteur déterminant dans la résilience face à l’échec et la capacité à rebondir.
En somme, l’optimisme n’est pas seulement une disposition d’esprit, mais une stratégie de vie efficace et un puissant catalyseur de ressources.
L’optimisme
La force de l’optimisme
Résumé de l’article
Martin Seligman, chercheur en psychologie, a développé le concept d’impuissance apprise, une cause majeure de dépression.Il a aussi exploré son antidote : l’optimisme.
L’optimisme nous fait anticiper un futur positif, influençant nos émotions et nos comportements actuels.
Contrairement à un pessimiste, un optimiste peut anticiper des défis futurs mais s’imagine mieux à même de les gérer.
L’optimisme conduit à une meilleure santé mentale et physique, et améliore la performance.
Seligman met en évidence l’importance de l’optimisme dans divers domaines, allant du succès scolaire et professionnel à la politique et au sport. En fin de compte, notre manière d’expliquer le passé influence notre anticipation du futur, offrant un levier précieux pour devenir optimiste.
La force de l’optimisme
Optimisme et psychologie positive
Résumé de l’article
La psychologie positive propose diverses pratiques pour développer l’optimisme.Une méthode clé consiste à se projeter dans un futur souhaité, identifier les valeurs associées à ce futur et identifier les petits pas possibles pour s’y rapprocher.
Il est également crucial de se focaliser sur la destination souhaitée plutôt que sur le problème à résoudre.
Les émotions positives, les forces personnelles et l’auto-compassion sont d’autres aspects importants.
Ces méthodes aident à braquer nos projecteurs attentionnels sur les réalités positives et à explorer nos ressources internes, favorisant ainsi une vision plus optimiste de l’avenir.
Pour aller plus loin, voici la formation en psychologie positive.
Développer l’optimisme avec la psychologie positive
Optimisme et réattribution causale
Résumé de l’article
Selon une méta-analyse, les interventions psychologiques sont efficaces pour augmenter l’optimisme, une caractéristique qui n’est pas figée mais peut être développée.L’optimisme se forme à travers des interactions biologiques, psychologiques et sociales, avec une part génétique significative.
Il est influencé par la manière dont nous interprétons le passé et anticipons le futur, ainsi que par l’apprentissage par observation des personnes significatives et par les retours qu’ils nous font.
Les approches thérapeutiques, comme la métacognition et la réattribution causale, peuvent aider à développer l’optimisme, bénéfique pour le bien-être, la résilience et l’engagement dans l’action.
Des documents pratiques sont disponibles pour approfondir ce travail.
Développer l’optimisme avec la réattribution causale
Optimisme et réattribution causale
Résumé de l’article
Selon une méta-analyse, les interventions psychologiques sont efficaces pour augmenter l’optimisme, une caractéristique qui n’est pas figée mais peut être développée.L’optimisme se forme à travers des interactions biologiques, psychologiques et sociales, avec une part génétique significative.
Il est influencé par la manière dont nous interprétons le passé et anticipons le futur, ainsi que par l’apprentissage par observation des personnes significatives et par les retours qu’ils nous font.
Les approches thérapeutiques, comme la métacognition et la réattribution causale, peuvent aider à développer l’optimisme, bénéfique pour le bien-être, la résilience et l’engagement dans l’action.
Des documents pratiques sont disponibles pour approfondir ce travail.
Développer l’optimisme avec la réattribution causale
La motivation
Théorie de l’auto-détermination
Résumé de l’article
La Théorie de l’Auto-Détermination (TAD) est une théorie psychologique centrale qui identifie trois besoins psychologiques fondamentaux: l’autonomie, la compétence, et le lien social.Ces besoins universels sont les moteurs de notre motivation et bien-être.
La TAD distingue également plusieurs types de motivation, de l’autonome (découlant de choix personnels) à la contrôlée (sous pression extérieure).
Cette théorie, soutenue par de nombreuses recherches, s’applique à divers contextes, tels que l’éducation, le travail, ou la thérapie.
Enfin, elle met en évidence l’importance du contexte social dans la satisfaction de ces besoins.
Théorie de l’auto-détermination
Application : la motivation à l’école, au travail et en thérapie
Résumé de l’article
La Théorie de l’auto-détermination (TAD) est un outil clé pour améliorer la motivation et le bien-être dans divers contextes, dont l’école, le travail, la thérapie et le sport.En soutenant l’autonomie, le besoin de compétence et le besoin de connexion sociale des individus, on facilite leur engagement et leur persévérance.
Que ce soit dans le cadre d’un traitement médical, d’un programme de perte de poids, ou de l’accompagnement d’un patient en thérapie, l’application de la TAD a démontré des résultats positifs.
De même, un style de management ou d’enseignement soutenant l’autonomie et les besoins psychologiques des individus engendre une meilleure performance et un bien-être accru.
Application : la motivation à l’école, au travail et en thérapie
Soutenir l’autonomie
Résumé de l’article
Cet article explore la distinction entre protéger et accompagner une personne.Protéger, issu du latin « protegere » signifiant « couvrir devant, abriter », consiste à se mettre entre la personne vulnérable et l’élément menaçant, assumant qu’elle est incapable de faire face à ce danger.
En revanche, accompagner, dérivé du latin « ad » et « cum pane » qui signifie « celui qui mange le pain avec », implique de soutenir la personne tout en lui laissant sa place et en lui permettant d’explorer son expérience.
L’article souligne l’importance de laisser la personne faire ses propres expériences, même si elles sont douloureuses, tout en étant à ses côtés pour l’aider à traverser ces épreuves.
Il met en garde contre les conséquences de la surprotection et plaide pour une approche plus empathique et respectueuse de l’autonomie de l’individu.
Soutenir l’autonomie
Le sens et le bien-être
Etre heureux
Résumé de l’article
La psychologie positive distingue deux types de bien-être: le bonheur (hédonique) et le sens de la vie (eudémonique).Selon une étude de Baumeister, ces deux conceptions sont liées, partageant jusqu’à 50% de variance commune, avec un point commun majeur: la qualité des relations sociales.
Cependant, donner aux autres enrichit le sens de vie, tandis que recevoir favorise davantage le bonheur.
Les événements négatifs impactent plus le bonheur que les positifs, et la satisfaction des besoins naturels est clé pour le bonheur.
Trouver un sens à sa vie est plus complexe, impliquant des aspects culturels et symboliques.
Je présente également les outils de la psychologie positive permettant de diagnostiquer les profils de bien-être et de développer des stratégies pour améliorer la qualité de vie.
Comment être heureux et trouver du sens
Joran Farnier
Psychologue, enseignant, formateur
Passionné par la psychologie, j’ai fondé l’Institut de Psychologie Positive Appliquée pour faire le pont entre les recherches et la pratique de terrain.
Nous formons les professionnels de l'accompagnement pour leur permettre d'exercer avec plus de clarté, d'efficacité et de confort dans un métier complexe.
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